De Michel Bouquet
D’après Les Joueurs, entretiens avec Charles Berling (Editions Grasset)
Avec Maxime d’ABOVILLE

 

Maxime d’Aboville s’empare de la parole inspirée d’un monstre sacré nommé Michel Bouquet.
1943. Fuyant une réalité qui l’opprime, le jeune Bouquet embrasse la vocation d’acteur comme on entre dans les ordres. Traversant un siècle déroutant émaillé de rencontres exaltantes – son premier employeur s’appelle Albert Camus – il sera serviteur des grands textes pour montrer l’homme à l’homme et lui révéler ses mystères.
Dans une société qui englobe et nivelle, cette parole singulière et intuitive, sonne comme un vibrant plaidoyer en faveur de la liberté intérieure, l’exigence personnelle et la restauration de l’individu.


Sincère, désarmant, souvent désopilant. Maxime d’Aboville captive. TÉLÉRAMA TT
Un bijou de spectacle, une leçon de vie
FIGAROSCOPE
Une brillante prestation L’HUMANITÉ

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