LA DEMANDE EN MARIAGE et L’OURS
Deux pièces en un acte d’Anton TCHÉKHOV
Traduction André MARKOWICZ et Françoise MORVAN – Actes Sud, collection Babel
mise en scène Jean-Louis BENOIT

 

Tchékhov disait de ces deux pièces courtes qu’elles étaient des « plaisanteries ». C’est pourtant avec elles qu’il va connaître ses premiers triomphes. Il n’a pas trente ans en 1888 et traverse une des périodes les plus heureuses de sa vie. Ce Tchékhov-là, joyeux, farceur, féroce humoriste, fait preuve dans ces miniatures pour la scène d’une violence grotesque incomparable. Que ce soit dans La Demande en mariage ou dans L’Ours, le tumulte, le rythme endiablé, la cocasserie des situations, la folie de ces personnages ahuris et furieux nous emportent loin du Tchékhov « chantre des crépuscules ».

Une virtuosité folle. FIGAROSCOPE *****
Travail d’orfèvre qui suscite l’hilarité générale. TÉLÉRAMA
Fabuleux trio de comédiens. LE PARISIEN *****
Remarquable. L’HUMANITÉ
Follement cocasse. WEBTHEATRE

 

˃˃ DOSSIER DE PRESSE A TÉLÉCHARGER
>> LA PRESSE EN PARLE