AFF LHDF Mai Juin14de et par Maxime d’aboville

D’après Michelet, Chateaubriand, Bainville et Victor Duruy

 

« Maxime d’Aboville nous régale de sa réflexion savante et savoureuse » Le Figaro
« De l’aventure, de l’action, de l’émotion et une bonne dose d’humour » La Croix
« A voir absolument si l’on veut tenter de faire aimer l’histoire à ses enfants » La Muse

 

De l’an mil à Jeanne d’Arc

Maxime d’Aboville endosse l’habit de l’instituteur et reprend les cours. Le royaume de France revit. Louis VI, qui n’est pas encore gros, tente de s’imposer aux seigneurs ; Louis VII épouse « la sublimissime » Aliénor d’Aquitaine qui s’ennuie et le trompe avec un sarrasin ; couronné à 14 ans, Philippe Auguste chasse les Plantagenêts de Normandie, défait Anglais et Allemands à Bouvines (1214). Menant son auditoire à la baguette, d’Aboville vibrionne comme un seigneur sur le champ de bataille. Philippe le Bel défie le pape, écrase les Templiers. À Crécy, les Français sont donnés gagnants, mais leur précipitation conduit à une défaite historique face aux Anglais. On croirait voir l’image du XV de France. Le moral du pays est en berne. Laid, mais valeureux, le brigand Du Guesclin met son épée au service de Charles V. Charles VI devient fou, le duc de Bourgogne fait assassiner son rival et cousin, le duc d’Orléans. À Azincourt, les chevaliers français s’enfoncent dans la boue sous le poids de leurs armures. En 1431, Jeanne d’Arc sera brûlée vive, mais les Anglais finiront par être chassés. L’histoire est une leçon ; continuer à l’enseigner, c’est entrer en résistance.

Bertrand de Saint Vincent

 

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