Aux mariés de tous les temps, aux célibataires forcenés, ce vivant passage en revue des déconvenues de la vie conjugale servira de guide salutaire ou d’exutoire complice ! Balzac nous introduit dans l’intimité de Caroline et d’Adolphe, prototypes du couple, dont il dissèque chaque aspect, tableau après tableau avec une ironie jubilatoire.  « Rira qui pourra ! » prévient-il à l’orée de cette intrépide entreprise, dont nous devenons les voyeurs privilégiés. À ce petit jeu de la vie à deux, qui aura le dernier mot ?